On manque d'affection...

Oui ,quelle connerie comme tu dis !<br /> Cela me fait penser au film de Patrick Shulmann :" Et la tendresse... b<br /> Bordel ?"<br /> Je me souviens des Pieds Nickelés et Monsieur Ventura était un grand monsieur .<br /> Merci de ta visite.<br /> Amicalement<br /> Véronique

il suffit de pas grand chose ;un simple sourire suffit<br /> douce journée

Quarante-deux ans de mariage et toujours amoureux, c'est possible !

Une interrogation qui progresse en réflexion au fil des ans et trouve sa réponse dans une constatation qui fait mal. Le matérialisme masqué par l'addiction à la consommation d'actualité,<br /> l'individualisme nous égare et moule à notre insu notre indifférence aux autres. A bientôt. Suzâme

Je ne sais pas si je vis sur une autre planète, mais des couples mariés et encore amoureux après des décennies de mariage, cela existe bel et bien encore... Mon mari et moi venons de fêter nos 46<br /> ans de mariage avec un grand bonheur. "Bien sûr nous eûmes des orages" comme le chantait Jacques Brel. Mais je pense que s'il n'y en a pas, c'est que l'un domine l'autre et qu'il n'y a pas de<br /> communication.<br /> Moins de divorces autre fois, c'est vrai. Mais combien allaient courir ailleurs et faisaient vivre aux enfants un enfer entre deux parents qui ne se respectaient même plus (ça, je l'ai vécu dans ma<br /> propre enfance !). Et les hommes n'étaient pas les seuls à pratiquer l'adultère.<br /> Pour ce qui est de la vie sociale, elle est tout à fait possible, mais il faut y mettre du sien. Les clubs de loisirs fleurissent avec des horaires l'après-midi ou en soirée pour les femmes qui<br /> travaillent. Et là où il n'existe pas, au lieu de se lamenter, ne vaudrait-il pas mieux se prendre par la main à deux ou trois pour en créer un.<br /> On parle de la solidarité d'autrefois : ne l'embellissons-nous pas un peu ?<br /> Elle était une nécessité chez beaucoup pour survivre. Mais que de mauvaises langues, d'hypocrisie, de coups tordus !!!<br /> Franchement, je préférerais vivre maintenant ma jeunesse si ce n'était ce maudit chômage. Il est là le vrai problème à mon avis. C'est le grand responsable de bien des maux dans notre société.<br /> Grâce à internet, nous avons fait la connaissance de gens intéressants que nous n'aurions jamais connus et créé de belles relations amicales qui se sont concrétisées. Pas par Facebook ou autres<br /> réseaux sociaux qui me font peur, mais simplement par le biais de quelques blogs et d'un tout petit forum de brodeuses.<br /> Cet outil appelé "ordinateur" est une fenêtre ouverte sur la monde. Quelle chance. S'il y a des dérives, chacun est responsable de ce qu'il fait. L'homme a toujours su détourner les plus belles<br /> inventions pour en faire des armes ( au sens premier et au sens le plus large), ce n'est pas nouveau.<br /> Non, je ne vis pas dans un monde enchanté, ni au pays des bisounours je connais aussi des déceptions, des malheurs, des chagrins, et j'en ai eu mon lot cette année, mais c'est le lot de chacun.<br /> Sachons apprécier ce qui est bon et gérons au mieux le reste.<br /> Que chacun soit tolérant et fasse preuve de générosité et de bon sens et un grand pas sera fait.<br /> Voilà ce que je pense. Je ne regarde pas derrière mais devant. Il ne m'en reste plus beaucoup, je souhaite que ce soit le plus serein possible et je m'y emploie. Advienne que pourra....<br /> Bonne journée.<br /> Amitiès