Belle prouesse pour des artisans-boulangers installés depuis 1892 dans ma ville de Bourg-de-Péage qui ont réalisé la plus grosse pogne du monde : 134,500 kilos ! Bravo à Jean-Charles Pascalis et son équipe qui n'ont pas manqué d'efforts pour réaliser cette oeuvre gastronomique gigantesque et la vendre sur la place publique ! La pogne, spécialité locale est une sorte de brioche succulente dont on ne peut pas se passer dans certaines circonstances ! Si vous devez goûter un panel de produits du terroir dans la Drôme, la pogne est incontournable !
C'est un scoop ! Une véritable bombe que je livre sur le net : j'ai retrouvé un fils caché de François Mitterrand ! Il se nomme Mazarin Blanc et habite dans la Drôme où il exerce la profession d'ingénieur-informaticien. Mazarin est né le 1er avril 1975 d'une relation entre l'ancien président de la République de 1981 à 1995 et d'une des maîtresses de Georges Fillioud, ancien ministre socialiste et maire de Romans. Je révèle ce secret aujourd'hui parce que c'est le moment ou jamais. Il aura fallu quand même des années pour en arriver là car le jeune homme âgé de 38 ans ne souhaitait pas faire connaître son identité. D'autant plus qu'il vote à droite ! Je vous laisse admirer son portrait, c'est assez ressemblant, non ?
PS : Le 1er avril est la journée du canular. J'espère que celui-là vous fera bien rire !
Il chante encore et encore l'ami Pierrot ! Plus de cinquante ans de carrière et près de 500 chansons écrites pour tous les goûts ! Pierre Perret est venu chanter dans une commune rural du Nord-Drôme devant 600 personnes. Sur scène, il est prodigieux, capable de passer d'un texte rigolo à un engagement sérieux. Certes, Pierre Perret est reconnaissable à ses refrains parfois légers mais n'oublions pas "Lily" ou encore "Les femmes grillagées", une chanson récente qui ne laisse pas insensible. Nous avons eu droit à une séance de dédicaces de ses ouvrages et autres CD. Le chanteur du "Zizi" devait prendre la route le lendemain pour la Suisse.
La semaine dernière, j'ai été invité par l'école communale d'un petit village de la Drôme pour parler de mon métier de journaliste et participer à la réalisation d'un petit journal destiné aux bambins de primaire. Une belle expérience marquée par un échange passionné et intéressant qui s'est terminé pour ces chères "têtes blondes" par l'incitation à la lecture des périodiques mais aussi des livres. Je suis reparti en fin de matinée fier de moi avec l'espoir que les enfants n'oublieront pas la nécessité de s'informer à plusieurs sources afin de développer leur sens critique.
Voilà un an de plus qui s'affiche au compteur de mon existence ! Je suis né le 10 mars 1968 et je ne m'en souviens pas ! Le temps a passé trop vite et je ne parviens pas à le contrer ! Demain, je vais continuer mon boulot de journaliste en me rendant sur le terrain à la rencontre des gens. La vie se poursuit malgré la vieillesse qui me guette... Allez, je tente de sourire sur les photos ! Bon dimanche à tous !
"La vie est courte,après tout" est publié le 6 mars prochain chez Jean-Claude Lattès, L'auteure se nomme Martine Simon-Le Luron et n'est autre que la propre soeur de l'artiste disparu en novembre 1986. La soeur de Thierry évoque surtout dans ce nouvel ouvrage évoque la disparition de l'imitateur en livrant le mot terrible du Sida. Elle fait en quelque sorte une révélation avec des anecdotes inédites ainsi que des photos jamais publiées. Une révélation ? N'exagérons rien. Dans les années qui ont suivi la mort de Le Luron, les personnes avisées savaient bien de quoi était décécé le jeune génie du music-hall. Jean-Claude Brialy et Line Renaud ont confié dans des journaux "people" la véritable nature du mal dont souffrait leur ami. Personnellement, dans le livre que j'avais écris et publié en 2006, "Mémoire de Thierry Le Luron", je ne faisais pas mystère de ce sujet mais je m'en tenais à une évidente discrétion. Autres temps, autres moeurs, il est de bon ton de tout livrer même si la vérité est déjà connue du plus grand nombre. Enfin, je préfère retenir Thierry Le Luron côté scène plutôt que de tomber parfois dans ce voyeurisme auquel nous succombons souvent, pauvres humains que nous sommes. Pardon, Thierry...
Le 26 février 1971, notre comique national Fernand Constandin dit Fernandel tirait sa révérence, victime d'un cancer du poumon ou plus précisément du traitement qui a eu raison de lui avec une attaque cardiaque. Fatigué, épuisé, Fernandel avait laissé tomber l'année précédente le tournage de son 148 ème film, "Don Camillo et les contestataires" dont il ne subsiste aujourd'hui qu'une quarantaine de minutes tournées mais invisibles. Fernandel, né à Marseille en mai 1903 a marqué des générations de spectateurs avec son style, un genre, une personnalité et une sacrée filmographie marquée par des classiques comme "La vache et le prisonnier" ou "Angèle". Dans la vie privée, Fernandel était un bon vivant ce qui, selon certaines mauvaises langues, lui aurait fatal. Il buvait le pastis, mangeait de trop et fumait des "Celtiques". Que répondre à cela ? L'important est de garder et d'entretenir le souvenir d'un grand artiste toujours impeccable qui a représenté le cinéma Français à travers près de cent cinquante films.
Pour la troisième fois, j'ai retrouvé Guy Bedos en pleine forme sur la scène des Cordeliers dans ma ville de Romans. Pendant une heure et demie, l'humoriste a passé en revue l'actualité avec son mordant habituel, en costume sombre, pisté par la poursuite et déambulant de gauche à droite. De gauche, Guy le reste d'une façon évidente mais il se montre critique avec tout le monde ! Les personnalités de tous les bords sont servies avec cet insolent-là qui ne laisse personne indifférent. Après le spectacle, moment privilégié dans la loge où nous avons pu bavarder quelques minutes. Le temps de parler de son show et de ses projets. Il veut arrêter la scène au mois de décembre. L'homme est ouvert, sympathique et charmant. Un contraste parfois entre le "méchant" qu'il peut paraitre sur scène et l'homme de coeur qu'il est véritablement. Finalement, la sécurité me fait signe de partir ! C'est toujours trop court ces moments-là mais tellement enrichissants ! Merci, l'artiste !
Avec son autobiographie coécrite avec la romancière Amanda Sthers intitulée "Dans mes yeux", Johnny Hallyday fait encore parler de lui avec ses propos fracassants sur les uns et les autres... Johnny dit tout dans ce livre qui fait déjà couler beaucoup d'encre. Ses proches et les personnalités du show-bizz qui ont jalonné sa longue carrière artistique. On apprend entre autres que son copain Michel Sardou est devenu " un vieux con de réactionnaire insupportable". A propos de Claude François, l'interprète de "Noir c'est noir", révèle : "Claude François était le Poulidor de la chanson française qui draguait mes nanas. Claude travaillait beaucoup mais n'arrivait pas à faire ce que je faisais avec le public". Johnny n'oublie pas ses ex-femmes non plus comme Nathalie Baye qui se vantait "d'être intello et d'avoir voté François Mitterrand". Quant à Adeline, c'est le "serpent qui me cocufiait tout le temps". Bref, cet ouvrage de deux cents pages édité chez Plon ne va pas laisser les lecteurs indifférents ! Encore faut-il que ceux-ci répondent nombreux présent dans les librairies pour se procurer le redoutable brûlot !
Le pauvre humoriste Dranem disparu en 1935 pourrait aujourd'hui se retourner dans sa tombe avec le mariage gay ! En 1929, ce précurseur des bons mots chantés a sorti ce "tube" intitulé " Henri, pourquoi n'aimes-tu pas les femmes ?". Un texte sympathique qui pourrait peut-être faire l'objet d'une reprise de nos jours ! A écouter...